Un prêtre fait un séjour à l’hôpital.

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Il va passer une radio en fauteuil roulant.

La personne qui le ramène (qui est la même que celle qui l’avait conduit) lui dit : « mon Père je voudrais me confesser ».

C’est une des 5 familles du Neo Catéchuménat qui vient d’arriver pour une évangélisation

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Oser entre inconnus de telles démarche, oui Jésus  est vivant.

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Un jeune ingénieur de 27 ans vient de découvrir le Christ vivant et  demande le Baptême.
Voici son témoignage

Ce témoignage étant trop long pour figurer ici, cliquer sur le lien pour télécharger  l’article complet

Pour Emmanuelle, jeune femme souffrant de maladies psychiques ( anorexie, boulimie, crises d’angoisse) depuis de nombreuses années, ce n’était pas une mince affaire de quitter son cocon pour venir passer un week end à Dijon, à 3 heures de train de chez elle.
Elle a décidé de le faire et d’y retrouver son oncle et sa tante avec un projet: revoir la cellule d’Elisabeth de la Trinité et prier dans la chapelle du Carmel.
Le week end est donc programmé selon les disponibilités de chacun et à 10 jours de ce voyage, sa tante s’aperçoit qu’un spectacle a lieu à l’église Saint Bernadette justement pendant ce week end et que ce spectacle a pour sujet la vie d’Elisabeth de la Trinité.
Pour Emmanuelle, ce fut une magnifique surprise et un grand moment de bonheur de pouvoir y participer.

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Pour cette merveille, toute la famille remercie notre Seigneur et la petite Elisabeth.

Arrivée d’une nouvelle pensionnaire pour Ma Maison.

Son mari est déjà résident.

Il demande au chauffeur de l’ambulance, qui amène sa femme, de commencer en arrivant par une visite à la chapelle où habite le Seigneur et, seulement ensuite, dans la chambre qui lui est destinée.

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Merveille de donner dans ces circonstances la première place au Christ vivant parmi nous dans son eucharistie.

JMJ

Nous allons vivre à partir du 10 août les rencontres JMJ à Madrid.

Des milliers de jeunes de tous pays vont se rassembler pour chanter leur foi en Jésus. 177 jeunes partent avec notre diocèse de Dijon. Mais beaucoup d’autres aussi avec différentes communautés : Communauté de l’Emmanuel, Frères de saint Jean, Différents séminaires comme la communauté st Martin, etc…

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Rendons grâce à Dieu pour la vitalité de notre Église et soyons témoins en faisant connaître ces nouvelles.

J’ai été prêché la retraite au Foyer de charité comme chaque année. Cette année il y avait 50 retraitants, dont 15 grands jeunes
Parmi les jeunes il y avait ADRIEN, un jeune ingénieur qui après la fin de ses études est parti aux Indes. Il a rencontré la bas prés de Calcutta, des communautés chrétiennes tellement vivantes, qu’elles lui ont permis de rencontrer Jésus le Christ vivant.
En rentrant en France un prêtre lui a conseillé de faire une retraite dans un foyer de charité, c’est ainsi qu’il est venu à la Flatière, le thème cette année était PORTRAIT DU BAPTISE DU TROISIEME MILLENAIRE. Il veut maintenant demander le Baptême.Il commence sa préparation avec le catéchuménat
Bénissons le Seigneur qui continue d’appeler des hommes et des femmes à Le connaître.

Antonin un jeune élève de première dans une école militaire  a reçu en début d’année un beau cadeau de Jésus : le désir d’aller à la messe tous les matins à 6h30.
L’aumônier militaire célèbre chaque matin la messe à 6h30. Ils se retrouvent cinq ou six chaque matin pour célébrer l’Eucharistie. Antonin reconnaît que cela ne lui demande que très peu d’effort pour être fidèle, c’est une cadeau de Jésus.

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Soyons nous aussi attentifs à de tels cadeaux et désirons-les.

Cadet d’une famille de quatre garçons, je suis né à Dijon en 1967. Après mes études au lycée Carnot puis à l’université de Bourgogne pour suivre une formation de juriste, j’ai intégré le monde de l’entreprise à Paris et en Seine et Marne en qualité de responsable juridique et de directeur des ressources humaines pendant près de douze ans, jusqu’à l’âge de quarante ans.
J’ai grandi dans une famille profondément attachée aux valeurs chrétiennes et j’ai toujours eu la grâce, depuis ma plus tendre enfance, de participer à la messe chaque dimanche. Mon engagement dans le scoutisme et les séances de catéchisme ne sont pas étrangers à cet enracinement dans le Christ.
J’ai suivi toute ma scolarité de la 6ème à la terminale au lycée Carnot et j’aimais beaucoup aller à l’aumônerie toutes les semaines. Nous nous retrouvions les lundis à midi pour la messe en « salle 10 » et parfois quelques autres jours de la semaine avant le début des cours à 8h00. Le Père Raoul Mutin ne manquait pas de nous apaiser avant les cours par une parole profonde et adéquate. Nous allions également à chaque fin de trimestre à l’abbaye de La Bussière pour une retraite de plusieurs jours et je garde un excellent souvenir des temps de partage fraternel.
A la fin de l’une de ces retraites, animées et encadrées par les Pères Denis Marion et Raoul Mutin, lorsque j’avais à peu près 12 ans, nous étions une dizaine de collégiens assis autour d’une table. Avant de nous séparer, le prêtre qui était avec nous avait dit, en nous regardant tous et avec un beau sourire, « peut-être qu’un jour, l’un d’entre vous sera prêtre ». Cette phrase m’avait alors frappé en plein cœur, je m’étais immédiatement posé la question « pourquoi pas moi » et je sentais effectivement que l’un de nous serait ordonné un jour (ce qui est déjà le cas pour l’un d’entre nous). Cependant, à ma grande surprise, mon questionnement me mettait mal à l’aise car je voulais déceler en moi une vocation de père de famille et je me refusais obstinément à opérer un quelconque discernement de peur de devoir renoncer à la voie que je voulais me tracer seul, sans l’aide de Dieu. Cet épisode, enfoui au plus profond de moi pendant plusieurs décennies, ne m’est revenu en mémoire qu’après plusieurs relectures de manière vive.
A l’âge de 17 ans, j’ai été ébranlé par une maladie qui a mis ma vie en péril, mais pas mon espérance. J’ai en effet senti un soutien permanent et puissant, je ne me suis jamais cru abandonné. Ma foi n’en a été que renforcée, mais tel un « sale gosse », je trouvais cela naturel, et si la ferveur avait redoublé, je n’avais pas pour autant remis en question le chemin que je voulais suivre obstinément, quoi qu’il arrive…
J’ai donc poursuivi paisiblement toutes mes études de droit à la faculté de Dijon avant d’entrer dans le monde professionnel.

Les JMJ à Paris en 1997 m’ont beaucoup marqué et elles ont été une étape très importante dans la progression de mon cheminement spirituel. J’ai ressenti à plusieurs reprises pendant ces trois jours un appel auquel j’avais envie de répondre par l’affirmative, mais à chacune de ces appels, comme en échos, quelques secondes de réflexion suffisaient pour étouffer ce cri d’amour. Je suis reparti triste comme le jeune homme riche, mais cette amertume me donna soif, et ma soif de plus en plus grande ne s’étancha naturellement que dans des lectures, l’écoute de plus en plus fréquente de la Parole de Dieu, la messe presque quotidienne, un pèlerinage différent chaque année et une retraite à Solesmes.
Le décès brutal de mon père a certes été un coup de tonnerre qui m’a bouleversé, mais il n’a pas remis en cause ma foi. Cette déchirure marqua la fin d’une période de vie en fils insouciant et provoqua un sursaut, la conscience de la nécessité de faire un choix, le bon choix. Je fis celui de m’engager encore dans la voie que j’avais empruntée et de me fiancer. Puis vînt le temps de l’orientation professionnelle dans une association libérale. Je n’étais pas malheureux, mais il manquait le sel.
C’est la mort du pape Jean-Paul II qui a opéré en moi une véritable conversion à l’issue de laquelle je me suis enfin retourné vers le Seigneur pour oser lui demander, à 40 ans, « que veux-Tu que je fasse ? »… En acceptant d’entendre ce qu’il pourrait me dire !
Ma réponse tardive à un appel ressenti avec force a été une délivrance intérieure, une libération énergique, une explosion de joie, de vie, d’amour. Ma décision de suivre ses pas a été confirmée lors d’une retraite à Solesmes et dans le cadre des exercices spirituels de saint Ignace à Manrèse.
Rien ne sert de courir, il faut demander chaque jour au Seigneur d’apprendre à ouvrir notre cœur, pour L’écouter et répondre à son amour en suivant le chemin qu’Il propose. Comme dirait saint Paul, « le vieil homme » en nous doit cesser sa « résistance » et rendre les armes ! Me voici maintenant en première année de théologie après un discernement opéré avec des prêtres du diocèse de Dijon, une année propédeutique et deux années du premier cycle au séminaire de Lyon.

Cette semaine, est venu pour l’enterrement de son grand père, Timothée, qui est rentré il a dix huit mois à la communauté saint Jean. Un jeune de 20 ans rayonnant de ce qu’il vit. Après un BEP d’ébéniste, il peut avec 15 novices se préparer à se donner au Seigneur pour annoncer l’Evangile. Il venait m’inviter à ses premiers vœux pour Pentecôte. Une joie merveilleuse sur son visage et des paroles traduisant un enthousiasme débordant.

Dans la rue une rencontre avec un papa joyeux, son fils Guillaume sera ordonné prêtre pour les missions étrangères en janvier prochain à Paris. Son cœur déborde du désir d’annoncer la Bonne Nouvelle au point d’y donner toute sa vie, toute sa capacité d’aimer.

Ce matin Pierre, élève de terminale vient partager sa joie. Un de ses copains de classe vient lui demander que va-t-il faire ce dimanche ?  Il lui répond en vérité un week end de prière. Qu’est-cela ? Et les voilà dans une longue conversation sur la foi. Ce copain n’est pas baptisé et ne connaît rien à notre vie de foi. Pierre lui remet un nouveau testament. Et ils décident de continuer cet échange.

Que de belle choses dans le cœur de jeunes aujourd’hui. Rendons grâce à Dieu. Ces trois jeunes ont partagé le même catéchisme.

Une dizaine de familles a pris la belle habitude d’aller en famille à Lourdes toute une semaine.
Mais une semaine de mise au service des malades de Lourdes. Les parents, père et mère sont hospitaliers et les enfants selon leur âge rendent service dans les différents centres d’accueil.
Je trouve cette expérience très intéressante car dans chacune des familles chacun est TÉMOIN du service de l’autre. Et le rassemblement en famille le soir est riche de toutes les découvertes de chacun.
Ne serait-ce pas une nouvelle manière de s’évangéliser au sein de la famille, chacun selon son âge. Alors la famille devient le lieu privilégié du témoignage de chacun vis à vis des autres.

Bénissons le Seigneur pour ces nouveaux signes que donne le Seigneur vivant.